Catégorie : sport ( spécial JO)

La journée mondiale de sensibilisations à l’autisme s’est tenu ce mardi 2 avril 2025, l’occasion de revenir sur ce handicap et également de faire le point la place qu’occupe ceux qui en souffre dans le monde du travail ainsi que sur les éventuelles solutions.

Le handicap n’est plus un tabou en France, en témoigne l’immense sucés du film d’Artus un p’tit truc en plus (qui narre l’histoire d’une joyeuse colonie de vacances destiné aux personne en situation de handicap) ainsi que celui les jeux paralympiques, la place du handicap dans la socetés à changer, est désormais l’emploie de personne en situation de handicap déviant un vrai défi de socetés.

Si les derniers chiffres de l’AGIFI sont encourageants, avec une augmentations d’embauche de personnes en situation de handicap de près du double sur les 20 dernières années, toutefois l’inclusion des personnes autiste on plus largement du spectre autistique (TSA) reste un défi . les progrès se font attendre et l’accès a l’emploie demeurent limité

Selon l’assosation SOS autisme environs 5% des personnes autiste travaillent dans des établissement ou services d’aide par le travail (ESAT) et à Paine 0,5% en entreprise ordinaire moins de 1% donc.

 l’autisme avec sa grande diversité avec sa grande diversité de profils fais encore naitre des appréciation au sain des entreprisses.

Cependant  Il existe plusieurs type « d’autisme » il peut allez de l’asperger (« les sages idiots » qui sont la forme là moins contraignant avec des troubles pour se sociabiliser et de concentration mais avec une mémoire et une factualité d’apprentissage digne des meilleurs ordinateur) jusqu’au non –verbal en passant par les types agressifs

. Si l’on veut vraiment prendre en considération ce sujet des personnes autiste il faut être honnête sans une formation dispensée aux futeurs recruteurs, une autre pour les candidats ou candidates.

Sans Une misse en place d’aménagements particulier à chaque cas et surtout sans un budget adéquate il persistera toujours des milliers de personnes au chômage. Le parcours du combattant pour que doivent passer les familles pour obtenir un diagnostic n’est pas une légende urbaine il faut tout une série d’entretien ce qui retard les éventuelles prise en charge qui pourrait être fait dès le plus jeune Age.

 Le chiffre de SOS autisme sous – entend que près de 95% de jeunes adultes qui devrais être sur le marché de l’emploie à cette Age la ne travaille même pas dans une entreprisse adapté, le problème est donc bien plus profond.

 Il est structurel( manque d’AESH etc.) , et prendra sans nul doute du temps, pour gagner environ une décennie la France pourrais prendre exemple sur la canada la Belgique ces pays ont des politiques misse en place depuis des années et qui porte leur fruit y compris pour les cas les plus complexes. Autre exemple Israël offre des exemples intéressants des milliers de famille s’installe en « terre promise » pour assurer l’avenir de leurs enfants les aménagements s’arrête à l’Age de 21 ans et les classes sont spécialisé et même des écoles des unités de l’armer et des facultés uniquement pour autiste.

 En hexagone, Le travail est encore très long, mais les mentalités ont changé tous, personnes qui porte l’inclusion en elle comme mission ne peut qu’exiger des résultats

#Inclusion #journémondialdemobiliatonàl’autisme

Médaillée de bronze en double mixte aux côtés de Lucas Mazur, Faustine Noël mise tout sur sa main pour faire des merveilles en para-badminton.

Faustine Noël a permis à Lucas Mazur de remporter sa deuxième médaille de bronze de ces Jeux Paralympiques, et c’est pour elle la première en double mixte. La Nantaise décroche ainsi sa première médaille de bronze aux Paralympiques. Handicapée de la jambe, celle-ci tremble lors des moments de stress, ce qui l’empêche d’effectuer certains mouvements essentiels au badminton.

Noël mise donc tout sur sa main, et le moins que l’on puisse dire, c’est que notre native de Loire-Atlantique a « de l’or dans le poignet ». C’est grâce à cela qu’elle compense son handicap, qui ne l’empêche pas d’être double championne d’Europe, médaillée d’argent aux Championnats du monde et vice-championne paralympique à Tokyo, déjà avec le même partenaire et toujours en double mixte.

Son handicap est plus neurologique que physique, car Faustine peut marcher normalement en dehors des situations de stress. Un exemple inspirant qui prouve que l’on peut compenser un handicap et que rien n’est réellement impossible avec du mental et de la volonté.

#héroinedecesjeux

Les Bleus ont également brillé en aviron lors de ces Jeux paralympiques. La Française Nathalie Benoit a décroché une médaille de bronze, l’occasion de revenir sur son parcours exceptionnel.

Nathalie Benoit, véritable héroïne, est professeure à Marseille. Atteinte de sclérose en plaques, une maladie qui paralyse partiellement ses membres, cette native d’Aix-en-Provence débute sa carrière dans l’aviron en 2008 après avoir commencé par le basket.

Notre championne enchaîne rapidement les succès : une 7ᵉ place en 1997 aux championnats de France. En 2012, elle décroche une médaille d’argent aux Jeux paralympiques de Londres. L’année suivante, en 2013, elle réalise un exploit unique en effectuant à la rame le trajet Paris-Lyon-Marseille. Par la suite, elle devient championne du monde et d’Europe, avant de terminer troisième aux Jeux de Tokyo et à Paris, montant ainsi sur la dernière marche du podium et ajoutant une médaille de bronze à son palmarès.

Ses élèves peuvent être fiers de leur institutrice, une source d’inspiration pour tous. Espérons que Nathalie continue sur cette belle lancée et contribue au rayonnement de l’aviron paralympique.

#heroinedesjeux

Souvent dernier relayeur, Yohan Peter a participé à la conquête de ce podium, l’occasion de revenir sur son parcours

La pression du dernier tireur, Yohan Peter la connaît bien. C’est lui qui offrira le dernier point lors du match pour la médaille de bronze contre l’Italie

Spécialiste de l’épée, il troque son arme préférée pour le fleuret. Il participera à ses premiers championnats d’Europe l’année suivante. Il remporte la médaille d’argent. Le natif de Villeneuve-Saint-Georges remporte également deux médailles de bronze lors de ces mêmes championnats. Yohan Peter monte également sur la dernière marche du podium puis deviendra vice-champion du monde de fleuret à Varsovie en 2022.

Sa force et son mérite sont à souligner, d’autant que notre héros a déjà été médaillé de bronze par des équipes lors de ses dernières participations aux Jeux paralympiques, lui qui a commencé au club des Mousquetaires du Val d’Europe.

#hérosanonyme

Expérimenté et considéré comme l’un des meilleurs escrimeurs paralympiques de sa génération, Ludovic Lemoine a joué un rôle clé dans l’obtention de la médaille de bronze de l’équipe de France. Sa rapidité et sa polyvalence ont été des atouts majeurs.

Spécialiste du fleuret et du sabre, il fait preuve d’une agilité remarquable avec ces deux armes, rendant son style de combat redoutable face à n’importe quel adversaire. Né à Vannes, en Bretagne, mais Auvergnat d’adoption, ce Breton, qui vit aujourd’hui à Clermont-Ferrand, a dû être amputé de la jambe gauche après la détection d’une tumeur dès son plus jeune âge. Il combat en fauteuil roulant.

Son palmarès est impressionnant : douze titres de champion de France, quinze médailles de bronze en Coupe du monde, deux titres de champion du monde et trois médailles paralympiques. Il a remporté l’argent au fleuret par équipes à Londres en 2012, puis deux médailles de bronze dans la même discipline, toujours par équipes, à Rio en 2016 et à Paris en 2024, au Grand Palais.

Très tôt après son opération, Lemoine s’est réfugié dans l’escrime, qu’il a perçue comme un véritable exutoire. Véritable leader technique, il pourrait, on l’espère, mener un jour son équipe au titre paralympique.

#herosdecesjeux